Comment stopper les violences routières ?
Grand bien vous fasse se mobilise contre les crimes routiers. L’an dernier, 3541 personnes ont trouvé la mort sur les routes du pays… Et ce sont surtout des vies anéanties, des familles, des amis, des collègues, à jamais traumatisés par la mort d’une victime de la route.
Avec
– Alain Mergier sociologue, sémiologue, directeur de l’Institut WEI
– Lucile Peytavin historienne, spécialiste du travail des femmes dans l’artisanat et le commerce
– Jean-Pascal Assailly Psychologue et chercheur à l’Université Gustave Eiffel, expert au Conseil National de Sécurité Routière
Il est nécessaire d’utiliser cette qualification avant qu’elle ne devienne un jour une réalité juridique dans le code pénal.
Tuer quelqu’un en roulant beaucoup trop vite, en ayant bu de l’alcool, en ayant consommé des stupéfiants, en consultant son portable, en adoptant des comportements virilistes ne relèvent absolument pas de l’homicide involontaire vous diront les proches des victimes de ces violences routières.
En 10 ans, 30 000 vies fauchées. Soit l’équivalent de la ville de Lens. Sans oublier les 200 000 blessés annuels dont 16 000 gravement.