80 km/h, premier ministre, parlementaires et usagers : la rupture
« Sauver des vies par une mesure de rupture », c’est ce que martèlent les services de communication du gouvernement d’Edouard Philippe, lequel s’arque-boute coûte que coûte sur son annonce de baisser la vitesse de 10 km/h sur le réseau secondaire bidirectionnel d’ici cet été.
Pour la rupture, c’est fait : pour les usagers de la route, des élus locaux et de nombreux parlementaires, la pilule que le Dr Philippe veut nous faire avaler de force ne passe pas.
Et il persiste et signe : au lendemain de l’audition par le Sénat des représentants des usagers de la route dont la FFMC, la FFM et 40 millions d’automobilistes, le porte-parole de l’Elysée affirme que la mesure sera mise en place comme prévue au 1er juillet. Alors que le rapport des sénateurs est attendu pour la fin du mois… encore une fois, l’avis des usagers et celui des élus de la République, le gouvernement et le Président n’en ont cure.
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